JUILLET

Et bien les amis ? Ces vacances ? Brûlés ou mouillés ?

Et bien nous, après 15 jours à vivre de sensations fortes ( 48 degrés j'appelle ça des sensations fortes ), nous sommes rentrés vivre d'autres aventures humides. Honnêtement, je préfèrais me ramollir au soleil ( avec piscine et clim bien sûr ) que courir entre les gouttes...

Bon, on garde espoir, l'été n'est ( normalement ) pas fini.

Donc, un petit résumé de notre mois de juilllet...

Il y a eu une semaine de stage de tennis pour la diplômée. Paraît qu'elle a progressé...

Puis, il y a eu 15 jours dans notre deuxième patrie...

C'était chaud boulette mais doux quand même. On a profité de la famille et puis on s'est reposé.

On a bien mangé, on a lu, on a joué, on a nagé.

J'ai beaucoup compté la vitesse de nage de notre sportive de fille ( en crocodile...) ce qui m'a beaucoup plu ( ironie ).

On a passé une belle journée à la plage dans une eau cristaline à la température interpellante...

Sinon, parce que je voulais vraiment aller au bout de l'aventure ( 48 degrés c'est une aventure ) j'ai mangé quelque chose qu'il ne fallait pas. Du coup, l'aventure dans la culotte à 48 degrés c'est plus difficile que Koh Lanta. 

J'ai rien lâché ( façon de parler car, en fait, si j'ai beaucoup lâché ) et j'ai prolongé l'expérience le plus longtemps possible.

Une gastro de 5 jours c'est toujours une gastro ou bien une presque mort par vidange ?

Du coup, nous avons repris l'avion la progéniture et moi la peur au ventre ( il n'y avait que ça que je gardais ). La peur de n'être pas encore complètement purgée, la crainte qu'il en reste juste assez que pour vivre l'humiliation ultime.

Dieu était, apparemment, fourré dans le fond de ma culotte ( terrorisée aussi la pauvre ) ( quand même aux premières loges ) et m'a donné la force de serrer les fesses assez fort que pour faire passer un agréable vol, sans turbulence intestinale pour moi et sans turbulence olfactif  pour le reste des vacanciers déjà tristes de quitter l'été pour l'automne en 2h50.

Du coup, pour fêter ça, on a été manger un Mac Do avec la frangine et la mère ( notre comité d'accueil et taxi du retour ).

C'était moyennement une bonne idée ( moyenne basse ). 

Du coup, la nuit je ne mens pas comme Bashung, moi, je chie.

Ma seule réjouissance de cette aventure pas trop agréable c'était d'imaginer la tête de ma balance quand elle verrait moins trois au  compteur ( après un retour de vacances ).

Et bien,la surprise fut vraiment totale quand ma salope de balance m'afficha un poids identique départ / arrivée.

Bref, toute cette merde ne m'a pas empêché de passer de jolies vacances ( la force de caractère, la volonté de positiver ) ( je suis vraiment prête pour Koh Lanta ) ( en plus je perds pas de poids ) .

Sinon.

Hier, la canaille est partie vivre sa vie pour 10 jours au camp lutins.

Comme d'habitude, on s'est bien disputée avant pour nous faciliter la douloureuse séparation.

C'est donc le sourire à peine masqué que nous nous sommes dit tchao, à dans dix jours et bon vent.

Du coup, vu que l'homme de la maison est, lui resté deux semaines de plus en Tunisie, et bien, on peut le dire : je suis en congé...
J'ai recommencé le boulot mais ça c'est du pipi de chat par rapport à une famille.

Du coup, je profite!!!!

Je sais que chacun est bien de son côté, donc je me délecte tout ce temps juste pour moi...

Voili voilà.

Et tralala.